Si vous êtes une femme musulmane, il y a fort à parier que vous ayez déjà eu vos menstrues. Je voudrais savoir ce que je ne peux pas faire durant cette période (comme lire le coran je crois) ainsi que des explications sur les grandes ablutions et [22] Il n’y a donc aucune notion d’impureté en cette démarche. ', in Le desir et le gGout : une autre histoire (XIIIe-XVIIIe siècles) : actes du colloque international à la mémoire de Jean-Louis Flandrin, Saint-Denis, Septembre 2003. Il se peut qu'une femme ne voit pas de menstrues durant toute sa vie. La question n’est donc pas de remettre en cause les affirmations de l’Islam, qui en la matière se fonde sur la surinterprétation de quelques versets et, essentiellement, sur des hadîths forgés à partir d’avis talmudiques, mais d’interroger le Coran afin de déterminer s’il existe réellement un ancrage coranique au concept islamique de pureté/ṭahâra et d’impureté/najâsa. Interdits Dès que l’on remarque les premières traces de sang, on entre dans sa période de menstrues et on se trouve donc en état d’impureté rituel. Il lui est un devoir de le rattraper. Il en ressort que le bain rituel/ghusl selon l’Islam n’a pas de fondement coranique, mais se réfère à la pratique judaïque du Mikvé. Lorsque la femme est en période de menstrues ou de lochies, il ne lui est plus permis d’accomplir certains actes. Bien que du fait de nos certitudes et nos habitudes ce point puisse paraître choquant, le sang menstruel n’est pas impur, les règles ne sont pas un état d’impureté et, à fortiori, la femme n’est pas à ce moment impure. Aussi, avions-nous déjà observé à propos du jeûne que le Coran ne mentionnait pas le cas des règles et que rien n’interdisait de jeûner en cette situation. Elle n'attend pas que l'écoulement atteigne la durée d'un jour et d'une nuit. 30. La pénétration anale. Ensuite, elle a vu de nouveau du sang après quatre jours par exemple et l'écoulement n'a pas duré plus de quinze jours depuis le début du premier écoulement. Il se peut également qu'elle ait les menstrues une fois par an ; si elle a eu des menstrues une fois par an, ce sont bien des menstrues mais ceci est contraire à ce qui est habituel. Aussi, puisqu’il ne s’agit pas de se purifier mais de se laver, ceci confirme que le terme junub ne peut pas signifier être en état d’impureté, ou être impur, et que son sens premier est bien ici selon le Coran s’écarter après un rapport. The day as tourists, they visit monuments and museums. La plus longue période (accepté comme menstruation) est de 15 jours. Les menstrues, c'est le sang qui sort du vagin de la femme sans que ce soit à titre de maladie ni suite à un accouchement. [13] Sur la différence entre le champ d’application du tayammum entre le Coran et l’Islam, voir : Les ablutions selon le Coran et en Islam. En fonction de tout ce qui précède, il n’y aurait pas à préciser que rien n’interdit l’accès à la mosquée à une femme ayant ses règles, toute activité cultuelle ou rituelle lui étant par ailleurs autorisée. Le premier, rijs, qualifie au sens propre ce qui est sale, souillé, et au sens figuré l’infamie. قُلْ لَا أَجِدُ فِي مَا أُوحِيَ إِلَيَّ مُحَرَّمًا عَلَى طَاعِمٍ يَطْعَمُهُ إِلَّا أَنْ يَكُونَ مَيْتَةً أَوْ دَمًا مَسْفُوحًا أَوْ لَحْمَ خِنْزِيرٍ فَإِنَّهُ رِجْسٌ أَوْ فِسْقًا أُهِلَّ لِغَيْرِ اللَّهِ بِهِ فَمَنِ اضْطُرَّ غَيْرَ بَاغٍ وَلَا عَادٍ فَإِنَّ رَبَّكَ غَفُورٌ رَحِيمٌ. Il lui est un devoir de le rattraper. d- La mosquée et les menstrues. Lorsque vous vous apprêtez à prier, alors lavez-vous le visage et les mains jusqu’aux coudes et humectez-vous la tête et les pieds jusqu’aux chevilles. [11] Si l’on reste dans les limites véritables de la langue arabe préislamique, le syntagme coranique in kuntu junuban est un euphémisme signifiant mot à mot « quand vous êtes sur le coté, ou le flanc » et évoquant prudemment l’idée de s’être retiré à la fin d’un rapport sexuel et d’être alors couché sur le flanc, d’où notre « après un rapport » que l’aurait pu aussi rendre par « après vous être retirés ». », Lévitique, XV ; 19-24. Le Coran est-il la source du sexisme de l’Islam ? – Concernant l’impureté des excrétions, le segment référent est en lien avec les ablutions et la conduite à tenir en cas de rapports sexuels. Stricto sensu cette limitation, qui concerne autant les hommes que les femmes, ne vaut que pour la prière et n’est pas indiquée pour toute autre pratique rituelle. Les pratiques qui pourraient nuire à l’un des époux, selon l’avis des spécialistes, en l’occurrence ici les médecins. Ainsi, les savants qui estiment que la femme peut toucher et lire le Coran pendant ses menstrues ou ses lochies, n’estiment pas que la femme est en état d’impureté majeure durant cette période, puisque le Prophète ﷺ a dit à Abu Hurayra quand celui-ci eu honte de le toucher en état de djennaba (souillure après l’acte sexuel): « Pureté à Allah ! Ce constat littéral indique donc que ces aliments ne sont pas tabouisés par le Coran du fait qu’ils seraient par nature impurs, mais uniquement de par une édiction divine. Devient interdit par les menstrues et par les lochies ce qui est interdit suite à la janâbah – le rapport sexuel ou l’émission de maniyy –. Verified account Protected Tweets @; Suggested users Est-ce que ce jour là lui sera accordé ou doit-elle le rattraper ? Les interdits de la femme en état menstruel: 1- Elle ne peut pas accomplir la salat (namaz=prière rituelle). La mixité selon le Coran et en Islam – S33.V33 ; S24.V30-31, L’Homosexualité selon le Coran et en Islam, Le voile comme signe distinctif des musulmanes, Le “voile” de la “femme ménopausée” selon le Coran et en Islam, L’Héritage des femmes selon le Coran et en Islam, Le mariage interreligieux selon le Coran et l’Islam ; une musulmane peut épouser un chrétien, Le couple et le mariage selon le Coran et en Islam, Frapper les femmes selon le Coran et en Islam, Adultère et fornication selon le Coran et en l’Islam, L’enfermement à vie de la femme adultère ou l’incohérence exégétique ; S4.V15-17, L’esclavage sexuel de celles que possèdent vos mains droites selon le Coran et en Islam, La jizya et les dhimmî selon le Coran et en Islam, Islam/islâm, Foi/îmân, Perfection/iḥsân, selon le Coran et en Islam, Foi et non-foi, îmân et kufr selon le Coran et en Islam, La Oumma, la meilleure communauté selon le Coran et en Islam, La pluralité religieuse selon le Coran et en Islam, Le Salut universel selon le Coran et en Islam, L’Amour de Dieu selon le Coran et en Islam, l’Amour universel, Violence et religions, l’Islam et le Coran, Le Châtiment de la tombe selon le Coran et en Islam, 1– Adam et l’Homme selon le Coran et en Islam, 2– Adam et le langage selon le Coran et en Islam, 3– Adam et Elle/Ève, Iblîs et le Shaytân : raison et conscience selon le Coran et en Islam, 4– La “Chute” d’Adam/Elle, l’Homme, Iblîs et le Shaytân selon le Coran et en Islam, Destin et Libre arbitre selon le Coran et en Islam, Sorcellerie et Magie selon le Coran et en Islam, Possession, envoûtement et mauvais œil selon le Coran et en Islam. » Certes, Dieu aime ceux qui se repentent et Il aime ceux qui se purifient/al–muṭahhirîn. La femme qui a les menstrues ou les lochies, il ne lui est pas permis de faire le wouá¸oÅ«' parce que le wouá¸oÅ«' n'est pas valable de sa part. Et, lorsqu’elles se sont nettoyées/taṭahharna,[16] venez à elles comme Dieu vous l’a ordonné. Cette remise en cause de ce qui semble être une évidence terminologique n’est pas une spéculation personnelle, mais une certitude tirée du Coran. Lorsque la femme est en période de menstrues ou de lochies, il ne lui est plus permis d’accomplir certains actes. [22] Sur ce point, voir : 2 – Le haram : les tabous selon le Coran et en Islam ; al–muḥarramât ; S6.V145. Voir : Plus dâExplication sur les menstrues (les règles) et les lochies. Il lui est également interdit de traverser une mosquée lorsqu'elle craint de la salir c'est-à -dire de rentrer d'un côté pour en sortir de l'autre, et ceci, lorsqu'elle craint qu'il descende d'elle du sang jusqu'à terre. Louis IX (25 April 1214 – 25 August 1270), commonly known as Saint Louis or Louis the Saint, is the only king of France to be canonized in the Catholic Church.Louis was crowned in Reims at the age of 12, following the death of his father Louis VIII; his mother, Blanche of Castile, ruled the kingdom as regent until he reached maturity, and then remained his valued adviser until her … [Boukhari, Muslim, Abou Davud] 2- Elle ne peut pas jeûner. Le second, fisq, signifie l’immoralité, l’abomination. Voir: LâImportance dâApprendre la science de la religion par transmission orale, Cours audio en ligne: Cours Islam Dourous, cours islamiques audio, YouTube: https://www.youtube.com/c/SunniteSunni, Facebook: https://www.facebook.com/site.islam.ms, Notre Chaîne Telegram: https://t.me/islamicfr, Application des horaires de la prière et la Qiblah (gratuite et sans Pubs): Qibla Salat Android | Qibla Salat IPhone, بÙسÙÙ
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ÙÙ٠اÙرÙÙØÙÙÙ, Plus dâExplication sur les menstrues (les règles) et les lochies, Explication sur le GHOUSL Grande Ablution obligatoire, Comment faire le Ghousl - La Grande Ablution - Obligatoire, faire à manger pour une femme qui a les menstrues, LâImportance dâApprendre la science de la religion par transmission orale, Cours Islam Dourous, cours islamiques audio. Et si vous êtes malades ou en voyage, ou que l’un de vous revient du lieu d’aisance, ou que vous ayez “caressé” femme, mais que vous ne trouviez point d’eau, alors ayez-en l’intention en recourant à un sol propre dont vous toucherez votre visage et vos mains…», S4.V43. Pour les impuretés matérielles, malgré certaines divergences d’École, sont concernés grosso modo les grands interdits alimentaires : le sang, les bêtes mortes, le porc, le vin, auxquels sont ajoutées toutes les émissions du corps humain, hormis le lait, et des animaux dits impurs par l’Islam. [14] Étymologiquement et lexicalement le terme ghâ’iṭ désigne le lieu où l’on fait ses besoins et, par métonymie, les excréments, ce qui signifie que ne sont pas ainsi englobées les urines, contrairement à ce que l’Islam statue. 29. Ce qui les laisse ignorantes quant à ce qu’il faut faire ou s’attendre une fois qu’elles surviennent. En quoi du reste nous faudrait-il admettre qu’avoir des rapports sexuels rendrait impur ! – C’est au sujet du rituel des ablutions que l’Islam a le plus essentiellement modifié le sens du Coran. [10] Il n’y aurait donc qu’en ce verset, S5.V6, et en S4.V43 qui en est proche et que nous allons aussi examiner, que junub aurait subitement pris une étrange signification juridique. Si l'écoulement reprend, dans la limite de la période des menstrues, il s'avère que ses actes d'adoration ont été faits dans une période de menstrues. Pour cette dernière, selon l’Islam cet état d’impureté lui interdit principalement de prier, de jeûner, de toucher le Coran, de séjourner dans une mosquée. À bien y réfléchir, notre conception du rapport entre les menstrues la pureté et le sacré est purement culturel et religieux. Là encore, la position coranique est déroutante, car elle remet en cause notre relation à la religion, au sacré, à l’adoration et à Dieu. Mais concernant le jeûne la femme qui est pure du sang des menstrues, c'est-à-dire que la période de menstrues est terminée, il est valable même si elle ne s'est pas encore purifiée par le ghousl. Selon le Coran, purification et donc pureté ne s’entendent qu’au sens figuré et, présentement, la preuve en est donnée par la pratique du tayammum, fonction symbolique de substitution quant aux ablutions, cf. Même si pour l’Islam la pureté est l’état originel de toutes choses, il n’en demeure pas moins certain que le Droit musulman a intégré à la religion la notion d’impureté qui, nous le constaterons, n’est en rien coranique. 2020-11-10T10:41:45Z tag:dro.dur.ac.uk,2005 … Les oulémas sont les héritiers des prophètes ? L’on peut aussi supposer à peu de frais que le débat dut être alimenté par la position chrétienne plus laxiste. Mais il est makrouh (répréhensible, interdit) pour la femme djunub d’allaiter son … [15] Citons la Thora : « Si une femme a couché avec un homme et a eu commerce avec lui, elle se baignera dans l’eau ainsi que lui, et ils seront impurs jusqu’au soir. Cette obéissance est le sujet du rappel formulé par le segment « comme Dieu vous l’a ordonné » et non une allusion à certaines pratiques sexuelles que le Coran aurait autorisées ou interdites. L’adultèration. Selon le Coran, rien n’est impur, ni de principe ni de fait, rien chez l’homme comme chez la femme n’est impur, il n’y a jamais d’état d’impureté, ni intrinsèque ni rituelle ni légale. Le premier, celui adopté par de grands savants comme Ibn Hazm, Daoud adh-dhahiri, Ibn Taymiya, Ibn Qayoum … Elle doit rattraper ce qu'elle a délaissé comme jours de jeûne. Comme en S5.V6, l’on retrouve toutefois la mention de la purification au sens moral, sauf qu’à l’évidence le pluriel muṭahhirîn/ceux qui se purifient concerne ici non pas les femmes – qui n’ont pas à se purifier d’un état d’impureté que le Coran ne leur attribue pas – mais les hommes. – Il découle directement de ce constat littéral que selon le Coran tous les actes rituels sont permis pour la femme menstruée, notamment le jeûne et la prière. Il n'est pas permis à son époux de jouir de la zone comprise entre son nombril et ses genoux sauf par dessus ce qui empêche le contact direct. Il y a 2 avis juridiques quant au rattrapage des prières. Lorsque l'écoulement du sang s'arrête, il ne lui est devenu licite avant le ghousl que le jeûne, le divorce et la purification. Question. Il faut dire que limpact sur notre corps et notre caractère est effectivement tel quil peut, si on ne fait pas … S'il dépasse les soixante jours, la femme est considérée comme ayant un sang de la maladie (moustaḥâá¸ah). [4] En effet, nous avons largement démontré que pour le Coran les hommes et les femmes sont égaux sur tous les plans : voir : Égalité homme femme selon le Coran et en Islam. 245-263. Aussi, si Dieu a interdit à la femme de prier lorsqu’elle a ses menstrues, c’est en ce verset que nous trouverons l’i… », S5.V90. Lorsque la femme a les menstrues ou les lochies, il devient interdit les mêmes choses qui sont interdites suite à un rapport ou à une émission de maniyy. En la démarche d’Islamité que sous-tend et soutient notre approche du Coran rien n’est imposé ni collectif, mais tout relève et dépend d’un parcours personnel. _ Parmi les règles concernant la femme en période de mentruation est qu'il lui est interdit d'éffectuer le At-Tawâf autour de la Ka'ba, elle ne doit pas lire le Coran, elle ne peut s'assoire dans la mosquée et son mari ne peut avoir de rapports sexuels qu'après son sang se soit arrété et qu'elle fait un Ghrousl ( 3 ). Il est interdit pour un homme de porter un ornement en or même s’il est mélangé avec d’autres métaux. Si un homme couche avec elle et que l’impureté de la femme vienne sur lui, il sera impur pendant sept jours, et tout lit sur lequel il couchera sera impur. Ceci provient du fait que les versets candidats retenus pour imposer au Coran le concept d’impureté, S5.V6 et S4.V43, ont pour sujet la prière et les ablutions, d’où la confusion générée et la quasi obligation de décréter l’interdiction de prier, et par extension encore de jeûner, afin de ne pas laisser apparaître la contradiction générée en ces versets en raison de l’interprétation soutenue par l’Islam. En revanche, si elle voit du sang seize jours avant les neuf ans, cela n'est pas considéré comme des menstrues. [21] Ce faisant, elle a dévié l’objectif du Coran consistant à réfuter les antiques croyances relatives à l’impureté, la pureté et le sacré, au profit des notions coraniques de propreté physique et de pureté spirituelle. Vous pouvez imprimer les invocations proposées ci-dessous, puis les écouter pour les … [8] Pour l’analyse littérale des éléments qui en ce verset définissent les ablutions, nous renvoyons à l’article dédié : Les ablutions selon le Coran et en Islam. Veuillez vous abonner pour recevoir les notifications. Autant de restrictions et interdictions visant la femme menstruée que l’on retrouve à la lettre dans le judaïsme en sa misogynie la plus assumée qu’il soit. Le Coran ne se mêle pas de la sexualité des hommes et des femmes, mais l’Islam, comme toute religion, aime à gérer jusqu’à l’intimité des couples… Les menstrues ne sont donc pour le Coran qu’un phénomène physiologique occasionnant aux femmes une certaine gêne justifiant que l’on ne les “approche” pas durant cette période, mais, en aucun cas, le Coran confère aux règles une quelconque notion d’impureté. - Dis: "C'est un mal. La tricherie. Dieu est le seul législateur qui, en islam, peut mettre en place des Lois universelles et intemporelles. Il est à signaler que dans le judaïsme une femme ayant ses règles peut et doit prier et jeûner, pareillement pour le christianisme. Ihre Meinung zu: Kroaten stimmen über EU-Beitritt ab Die Regierung in Zagreb hat den EU-Beitrittsvertrag bereits unterschrieben. Elle a alors fait le ghousl et accompli la prière et le jeûne. Interdit aux hommes (menstrues). Ainsi il a été rapporté dans le ḥadÄ«th á¹£aḥīḥ que le Messager de AllÄh récitait le Qourâân en ayant la tête appuyé sur le corps de `Aâichah alors quâelle avait les menstrues, de même il a été rapporté dans le ḥadÄ«th á¹£aḥīḥ que `Aâichah lui peignait les cheveux alors quâelle avait les menstrues et le Messager de AllÄh á¹£alla l-Lâhou `alayhi wa sallam était dans la mosquée et lui penchait sa tête sans quitter la mosquée car la maison de `Aâichah est collée à la mosquée, elle est séparée de la mosquée par un mur fin ; les deux ḥadÄ«th ont été rapporté par Al-Boukhâriyy. [6] 2 – Le haram : les tabous selon le Coran et en Islam. Ainsi, il n’y a aucune difficulté à comprendre en ce verset le propos coranique dont voici la traduction littérale : « Ils t’interrogent quant aux règles. Le rapport pendant la période des menstrues ou des lochies que ce soit avec ce qui empêche le contact direct ou sans ce qui empêche le contact direct est interdit. L’interdiction du vin/khamr et des boissons alcoolisées selon le Coran et en Islam, Couper les mains du voleur selon le Coran et en Islam, Le verset le plus violent du Coran ? 2– Concernant les impuretés rituelles, le verset principal est en rapport avec les règles et l’état d’impureté que l’on suppose alors aux femmes. Le moi bénie du ramadan pour connaître l'islam, Conakry. Concernant ce que nous qualifierons d’impuretés rituelles, citons principalement l’impureté de l’homme et de la femme suite à des rapports sexuels et l’impureté de la femme liée au sang menstruel. Devient interdit par les menstrues et par les lochies ce qui est interdit suite à la janâbah – le rapport sexuel ou l’émission de maniyy –. C'est à dire la prière, les sept tours rituels autour de la Ka`bah, porter ou toucher le Qour'ân, la lecture du Qour'ân, rester dans une mosquée, le jeûne avant l'arrêt de l'écoulement du sang et de permettre à son mari de jouir de … Les pertes blanches ne sont pas des menstrues et ne rendent pas obligatoire la grande ablution. Dans le cas où la femme a les menstrues ou les lochies, il n'est pas permis de la divorcer. Dans le cas où la femme a les menstrues ou les lochies, il n'est pas permis de la divorcer. 3– Le début de la révélation du Coran selon le Coran, Le terme islâm selon le Coran : l’Islam-relation, Le (terme) islâm selon l’Islam : l’Islam-religion ; La shahâda ou double attestation, La Sunna selon le Coran et en Islam, fonction et mission du Messager. Les lochies, c’est le sang qui survient après l’accouchement. Du reste, l’on peut lire parfois dans les exégèses que junub a cette signification du fait que c’est un état qui éloigne de la prière ! c- Toucher et lire le Coran lors des menstrues. Un des grands risques que peuvent connaître les couples pendant la période de menstrues, est de mettre leur sexualité de côté le temps que les règles s’arrêtent. Ceci est confirmé par l’analyse des segments relatifs aux ablutions montrant que si on ne peut réaliser ce nettoyage à ce moment-là faute d’eau, il faudra le faire avec de la terre ou autres lavages secs. La prière selon le Coran. Est-ce un état intrinsèque ou une simple construction religieuse, voire une édiction coranique ? Ces evenements ont ete predits il ya longtemps, dans les livres de Daniel, Ezechiel et Isaiie. Le maximum des menstrues est de quinze jours avec leurs nuits, c'est-à -dire que si l'écoulement du sang se prolonge pendant quinze jours, toute cette durée est considérée comme période de menstrues. Pour nous contacter ou poser des questions sur la religion musulmane ou faire une demande de cours gratuit de science islamique, veuillez nous envoyer un mail à site.islam.ms@gmail.com, Pour nous contacter à travers Telegram: https://t.me/islam_ms, Cours gratuit de science islamique, langue arabe et TajwÄ«d en direct tous les dimanches à 12h (Paris) sur notre chaîne YouTube. Au final, pour parvenir à faire accepter au Coran cet emprunt, nous aurons constaté que l’Islam a amplement forcé le sens des termes junub et iṭṭahhara et que les lexiques de langue arabe en ont aussi été modifiés. Il n'y a pas de limite pour le maximum de la période inter menstruelle. La théorie de l’involution selon le Coran – S2.V213, La bataille de Badr, entre mythe et réalité, La législation coranique selon le Coran et en Islam, La Jizya et les dhimmî selon le Coran et en Islam, Le témoignage de la femme selon le Coran et en Islam. La purification qu'elle fait avant l'interruption du sang est interdite mais après l'arrêt de l'écoulement elle lui est licite. [14] Par contre, il est évident que le bain rituel de purification dit ghusl en Islam est en rapport direct avec la pratique dite du Mikvé dans le judaïsme. [18] Il ne repose sur aucune vérité intangible et, si la perception de soi, du monde et de notre être au monde n’est que constructions, ce n’est pas pour autant de notre point de vue un argument déconstructeur. Les lochies, c’est le sang qui survient après l’accouchement. Si la femme jeûne alors qu'elle a ses menstrues ou ses lochies, elle commet certes un péché et son jeûne n'est pas accepté. Certes la science de la religion sâacquiert par transmission orale » [rapporté par Al-Boukhâriyy]. Asbâb an–nuzûl, La théorie des trois intentions et le sens littéral du Coran, https://www.youtube.com/watch?v=s2HMdysnREI. maryam1883. In this conversation. Vivre l'islam : apprendre des dou'as (invoations) أدعية Pour apprendre les dou'as (invocations) أتعلّم الدّعاء. Pendant les menstrues, il lui est donc interdit de faire le wouá¸oÅ«'. Or, quelles que soient les significations du terme-clef adhâ : mal, dommage, tort, d’où notre « indisposition », aucune n’évoque la notion d’impureté. Du point de vue coranique, rien en ces deux versets ne postule de la notion d’impureté et, par voie de conséquence, de pureté légale au sens que l’Islam le conçoit. [21] Ces emprunts au judaïsme sont une constante en Islam avec, en général, une légère atténuation de la rigueur orthopraxique de la Loi juive, la halakha. Ce n’est pas un moment de doua, sauf si la personne rencontre un problème particulier ou un besoin spécial, rien n’interdit d’invoquer Allah bien sûr, mais cela ne doit pas devenir une habitude de lever ses mains pour invoquer Allah après chaque prière. Le minimum des menstrues est d'un jour et une nuit, c'est-à -dire que le minimum des menstrues est ce qui dure un jour et une nuit, c'est-à -dire vingt-quatre heures. », S2.V222. Par ailleurs le corps de la femme qui a les règles est pur, ainsi que sa transpiration et ses larmes et sa salive et il nâest pas déconseillé de côtoyer une femme qui a les règles [contrairement à ce que disent certains non-croyants]. Du fait de ces tabous et interdictions est ainsi instituée une dysmétrie cultuelle entre l’homme et la femme, situation entérinée par ce propos bien connu, en substance : « la femme est en religion inférieure à l’homme du fait qu’elle ne prie ni ne jeûne durant ses règles ». Le porc et les autres viandes . Envoi des liens du direct sur notre chaîne Telegram: https://t.me/islamicfr. Ainsi, qualifier les menstrues d’indisposition/adhâ ne fait pas de cet écoulement sanguin une impureté, mais est destiné à souligner que la gêne occasionnée par les règles est la cause de l’interdiction de rapports sexuels durant cette période. Mais au fil des années, on apprend un peu mieux à cerner cet étrange phénomène et à comprendre un peu mieux pourquoi les gens sont si nombreux à cacher leur peur derrière un dégout affirmé lorsque certains mots-clés sont prononcés. En conséquence, le Coran n’a pas institué de processus de purification, mais a seulement édicté quelques règles simples relevant soit de la pureté spirituelle, soit de mesures d’hygiène. Aussi, alors même que l’Islam a beaucoup emprunté au judaïsme quant à la notion d’impureté et de ses champs d’application, les juristes musulmans ont été amené à légiférer l’interdiction faite aux femmes de prier et de jeûner, dépassant en cela le modèle de référence. اردو ur. Question 1 : Si la femme est purifiée de ses menstrues, juste après l’aube (fajr), doit-elle jeûner ce jour là ? Âyat al–kursî – Le verset du Trône doit-il descendre de son piédestal ? McClive, C. (2005) 'Engendrer pendant les menstrues : devoir conjugal et interdit sexuel à l'époque moderne. Le Messager de Allâh صÙ٠اÙÙ٠عÙÙÙ ÙسÙÙÙ
a dit: « Ù
ÙÙÙ ÙÙرÙد اÙÙÙ٠ب٠خÙÙÙرÙا ÙÙÙÙÙÙÙÙÙÙÙ Ù٠اÙدÙÙÙÙ٠إÙÙÙ
ÙÙا اÙعÙÙÙÙ
٠باÙتÙÙعÙÙÙÙÙ
Ù ÙاÙÙÙÙÙÙÙ٠باÙتÙÙÙÙÙÙÙÙ٠», ce qui signifie: « Celui pour qui Allâh veut le bien, Il lui facilite lâapprentissage de la religion. », S56.V77-80. – Concernant l’impureté du vin/khamr, et plus largement celle de l’alcool, avec des divergences sur ce dernier point, le verset mis en référence est le suivant : « Ô croyants ! Español es. S’il est connu de tous que les rapports sexuels avec pénétration sont strictement interdits pendant les menstrues, continuer à vivre sa sexualité pendant cette période, “autrement” , ne l’est absolument pas, bien au … [3] Extrait d’un célèbre hadîth rapporté par al Bukhârî. « Mais ce qui sort de la bouche vient du cœur, et c’est ce qui souille l’homme », Matthieu ; XV, 18. La question n’est donc pas de remettre en cause les affirmations de l’Islam, … Die Meinung im Land ist gespalten - dennoch wird mit einem positiven Votum gerechnet. LA PÉRIODICITÉ DES RÈGLES. 2– La première révélation du Coran selon le Coran ? Il est interdit à la femme qui a ses menstrues ou ses lochies de faire ce qu'une personne qui n'a pas ses ablutions ne peut pas faire. – S5.V33, 1– Le haram : le sacré selon le Coran, al–ḥurumat, 2 – Le haram : les tabous selon le Coran et en Islam ; al–muḥarramât, 3– Le haram : les interdits moraux selon le Coran, at–taḥrîmât, 6– Le halal : l’abattage rituel selon le Coran et en Islam, L’interdiction des jeux de hasard ou maysir selon le Coran et en Islam, Le changement de Qibla selon le Coran et l’Islam, L’impureté, et l’impureté des femmes, selon le Coran et en Islam ; S6.V45, S5.V6, S4.V43, S2.V222, Les ablutions selon le Coran et en Islam ; S5.V6, 2 – La prière obligatoire selon le Coran et en Islam, 3– Les heures de prière selon le Coran et en Islam, 4– La Prière, la Sunna, et la prière du Prophète, 1– L’obligation du jeûne de Ramadan selon le Coran et en Islam ; S2.V183-184, 2– Le Jeûne de Ramadan selon le Coran et en Islam ; S2.V183-187, La fête de l’Aïd selon le Coran et en Islam et : Isaac ou Ismaël ?