Virunga (Orlando von Einsiedel, 2014, 1h30). Tellement dommage. Les personnages sont parfaitement campés avec ce qu'il faut d'étrangeté et de sauvagerie par un casting quatre étoiles (Cate Blanchett, Christian Bale, Benedict Cumberbatch...). Spaces are ideal for storing static, unstructured data like audio, video, and images as well as large amounts of text. Les humains seront-ils amenés à vivre un jour des histoires d'amour avec des machines ? — 17 février 2021 — Temps de lecture : 3 min, qui a plusieurs fois sombré l'an passé dans le malaise, une maladie invalidante qui touche surtout les femmes, il n'y a qu'à voir la violence des critiques sur Rotten Tomatoes. Et Ben Mendelsohn est parfait pour incarner avec élégance ce malaise désabusé. Je est un autre? Si le film n'est pas exempt de maladresses avec quelques blagues un peu lourdes et des personnages secondaires qui peinent à exister réellement, il bénéficie néanmoins du charme de ses principaux intérprètes, d'une brochette de guests savoureuse et d'une manière assez fine de coller à l'air du temps. Aussi touchant qu'éclairant. Réalisateur du film de zombies Dernier Train pour Busan, remarqué en sélection officielle à Cannes en 2016, Yeon Sang-Ho revient avec un film qui en est presque le contrepied. Outre ce jeu outrancier du live qui perd du charme du dessin, une certaine idée de l'ennui. On y discute amour, bonheur, désir, racisme, appropriation culturelle dans une suite d'échanges stimulants et ouverts. David Brent: Life on the road (Ricky Gervais, 2017, 1h40). Succès phénomènal au box-office chinois, ce blockbuster se tient visuellement, offrant au passage quelques belles scènes accrocheuses. Voir la bande-annonce Mais peut-être n'est-il pas encore trop tard pour réparer cette malencontreuse bévue. L'occasion de louer les États-Unis comme terre d'accueil et de liberté en contrepoint à la politique défendue par Donald Trump, implicitement visé ici mais jamais explicitement attaqué. La comédienne aperçue dans Game of Thrones incarne ici une pianiste aveugle qui entend sa voisine du dessus se défenestrer à la suite d'une dispute. Ultime film de Jonathan Demme, grand cinéaste de la musique, cette captation de la dernière tournée de Justin Timberlake s'ouvre modestement avec la présentation de chacun des participants au spectacle avant de coller au plus près, grâce à un savant montage, au show sophistiqué de l'acteur-chanteur-performer. La bande audio connaît un important succès viral. Passionnant. Avant le succès de la série 13 Reasons Why, ce documentaire s'intéressait au problème douloureux du harcèlement en ligne en donnant la parole aux victimes et à leurs proches. L'imagerie horrifique, soutenue par un casting solide (Dan Stevens, Michael Sheen), est suffisamment étrange pour fasciner. Il interroge aussi le parcours du comédien canadien qui a explosé au box-office en 1994 avec trois rôles qui lui ont permis d'injecter un peu de folie et de débordement dans un genre souvent très réglé. Et se retrouve pris au piège, tiraillé entre sa culture d'origine et celle plus libérale de son pays hôte. Pour ne rien gâcher, la sous-intrigue romantique du film offre à Bridgit Mendler une rôle plus que séduisant de girl next door particulièrement enjouée. Ce western brésilien sur fond de fresque historique raconte l'histoire d'un tueur retiré dans une province lointaine, territoire maudit sur lequel il va connaître la richesse puis la perte. D'un côté, la fête du 70e anniversaire du cinéaste Jake Hannaford (John Huston), traitée à la manière d'un documentaire. 15 August (Swapnaneel Jayakar, 2019, 2h04). Avec Joy, elle s'intéresse à un petit groupe de femmes nigérianes qui vit de la prostitution en Autriche justement pour tenter de racheter leur liberté. Des années après, l'une d'entre elles, devenue policière, se décide à relancer l'enquête visant à savoir ce qui s'est vraiment passée cette nuit-là. This causes the CDN to stop serving assets with SSL once the original certificate expires. Le droit des logiciels, des nouvelles technologies et plus généralement du "numérique" est notre coeur de métier depuis plus de vingt ans. Il y a des partitions rebattues qu'on a dû plaisir à réentendre. Vers la surface (Josh Izenberg et Wynn Padula, 2017, 0h27). Histoires sensuelles (Zoya Akhtar, Dibakar Banerjee, Karan Johar et Anurag Kashyap, 2018, 2h00). Une vision tendue et désabusée aux airs de tragédie du quotidien qui rappelle un peu le cinéma du Philippin Brillante Mendoza. Dans la peau du loup (Samu Fuentes, 2018, 1h50). En France, on a eu le film de Yann L'Hénoret Les Coulisses d'une victoire sur la campagne Macron vécue de l'intérieur. Take Your Pills (Alison Klayman, 2018, 1h27). Une catastrophe n'arrive jamais seule (Patricia Font, 2019, 1h37). The Ivory Game (Kief Davidson & Richard Ladkani, 2016, 1h52). La promesse reste inaboutie. The Transmit v. 5.0.5 release solved some compatibility issues, but it is not yet fully compatible with Spaces. Voir la bande-annonce. Ce documentaire ouvertement militant retrace les liens qui ont uni depuis des décennies la consommation de cannabis et la musique noire américaine, jazz et rap en tête. Get Me Roger Stone (Dylan Bank & Daniel DiMauro, 2017, 1h41). Joan Didion, le centre ne tiendra pas (Griffin Dunne, 2017, 1h38). Voir la bande-annonce Soit la création d'une banque souterraine destinée à financer les actions contre les nazis grâce à un ingénieux système de détournement de fonds légaux. Un polar coréen noir porté par un anti-héros délicieusement ambivalent. Ils ont pour ordre de rester les plus discrets possibles, mais là encore tout ne se passera pas comme prévu. Tous les coups sont permis dans cet intéressant drame coréen qui a tout de même le défaut de traîner en longueur. Catching feelings (Kagiso Lediga, 2018, 2h04). Trompée publiquement par son mari, virée de son emploi, une architecte tente de reprendre le contrôle de sa vie en retournant habiter quelque temps chez ses parents. Pendant le vol, elle fait la rencontre d'un homme riche qui invite le couple sur son yacht. Le garçon qui dompta le vent (Chiwetel Ejiofor, 2019, 1h53). Jadotville nous replonge avec une belle maîtrise dans une page injustement oubliée de l'histoire, soit l'envoi dans le cadre d'une opération des Nations unies de soldats irlandais dans l'État sécessionniste du Katanga en Afrique, peu après l'assassinat de Patrice Lumumba. Cette quête d'une vérité et d'une liberté filmée au plus près des corps et des visages est la partie la plus convaincante du film. Un film plein de bons sentiments mais pas gnangnan, qui trouve une juste distance pour parler de la maladie et emmène sur sa route une poignée de personnages secondaires attachants. Tout en tension, le long métrage centré sur une histoire de meurtre et de loups sauvages s'appuie sur son décor enneigé et un scénario à trappes emprunt de mystère pour tirer peu à peu sa mise en scène vers une fascinante abstraction trouée de saisissants moments de violence. Annoncé au départ comme une mini-série, le nouveau projet des frères Coen se déploie finalement comme un film à sketches composé de six épisodes. Sharing ownership of Spaces is currently per account, not per Space. Dommage qu'à de nombreuses reprises le scénario se complaise dans quelques facilités. Il a définitivement traversé le miroir. Reste le duo truculent Paul Rudd et Justin Theroux, amusant à regarder presque de bout en bout, qui là encore malheureusement n'apporte pas grand chose au Schmilblick sinon jouir de son propre spectacle. Non sans un certain charme par la grâce d'un calendrier de l'Avent qui chaque jour envoie un signe du destin à Abby, une jeune femme célibataire coincée dans un emploi de photographe de studio qui ne lui plaît guère. À la mort de leur mère, quatre sœurs ont pour mission de partir à la recherche chacune de leur véritable père pour pouvoir toucher leur héritage. Au final, le film de John Lee Hancock présente toutefois un classicisme de bon aloi plutôt cohérent avec son attachement à l'ordre. I Feel Pretty (Abby Kohn et Marc Silverstein, 2018, 1h50). Dommage que l'ensemble, de l'écriture à la mise en scène, soit si grossier. Une chronique naturaliste qui cherche à approcher une réalité nuancée au risque par moments d'une certaine aprêté du récit. Ce drame espagnol centré sur les retrouvailles entre une mère, célèbre actrice, et sa fille qu'elle avait abandonnée enfant déploie une imagerie riche de mystères, autour de l'univers de la forêt notamment, qui fait pencher l'ensemble du côté du conte. Le tout porté par deux actrices à l'alchimie revigorante : Kaitlyn Dever et Beanie Feldstein. Après une entame alléchante présentant une bande de jeunes voyous essayant de faire leur trou abordée par un mystérieux mentor, le film retombe ensuite sur des ficelles un peu grossières où sera mise en danger leur loyauté. Malgré tout (Gabriela Tagliavini, 2019, 1h18). Aidée de sa meilleure amie et de son mentor américain, Georges Cardona, qui joue le réalisateur pour les circonstances, elle vit enfin son rêve de cinéma. C'est peut-être là le génie de Ricky Gervais. Une dénonciation puissante du silence de plomb qui pèse sur les violences policières et carcérales. Croisement fécond entre une satire du monde de l'art contemporain et le film d'horreur façon Destination finale, Velvet Buzzsaw délivre une imagerie à la fois froide, grinçante et inquiétante au service d'un humour pince sans rire. Impair réparé grâce à Netflix et ce Au pays des habitudes, une comédie un peu douce et très amère sur l'histoire d'un jeune retraité qui a quitté sa femme pour se trouver confronté à une forme de vide existentiel derrière où il n'est nul part à sa place. Pour son troisième film, Dee Rees fait preuve d'une belle maîtrise de la composition. Il nous parle de racisme, de disruption. La Femme la plus détestée d'Amérique (Tommy O'Haver, 2017, 1h31). On retrouve également ce qui fait le charme si singulier du cinéaste new-yorkais, ce mélange d'empathie totale pour ses personnages et en même temps une détermination presque cruelle à ne pas les ménager, soulignant au fil d'une intrigue construite en longs chapitres ces petits travers qui les rendent si humains. Le prétexte d'une lutte de pouvoir entre deux clans autour d'un sabre légendaire fascine moins. La Princesse de Chicago raconte l'histoire d'une pâtissière américaine qui se retrouve inscrite à un grand concours culinaire en Belgravia et rencontre sur place son double, une comtesse promise au prince du royaume. Cette adaptation à l'américaine d'un manga et d'un animé japonais est malheureusement symptomatique des ravages de cette approche popisante du monde des super-héros. Le documentaire qui tombe à pic. Ce moyen métrage documentaire suit le quotidien d'une famille de Porto Rico relogée temporairement dans un hôtel aux États-Unis après le passage de l'ouragan Maria en 2017. Puis le propos s'étiole un petit peu en suivant en parallèle la préparation de la défense d'Anders Behring Breivik, dont les avocats souhaitent dans un premier qu'il plaide à la folie avant que lui-même ne décide d'assumer la charge politique de ses actes, et la lente convalescence d'une des victimes touchée à la tête, traumatisée. infra), la mission de l’espion autrichien s’avérera un échec. Voici un guide subjectif de toutes ces œuvres classées par ordre antéchronologique de sortie au sein de chacune des cinq catégories. Inspiré en partie de la vie d'une vraie garde du corps, Jacquie Davis, Close se pose comme un honnête thriller réaliste (et parfois un peu trop attendu) porté par la performance de Noomi Rapace. Mécontents de son comportement, les parents de Tyler le punissent en l'envoyant en camp d'entraînement pour devenir sauveteur sur la plage de Malibu. Voir la bande-annonce Le film à la première personne bascule alors vers le thriller et la révélation douloureuse d'un scandale remontant jusqu'au sommet de l'exécutif russe. Tig (Kristina Goolsby & Ashley York, 2015, 1h31). We recommend against using periods in the names of Spaces. Because Spaces are an object storage implementation, use cases like databases, applications written in server-side languages, and mission-critical applications will work best with local storage or block storage. The free, built-in Spaces CDN minimizes page load times, improves performance, and reduces bandwidth and infrastructure costs. Netflix assure le service après-vente. Une tentative d'apporter un peu de gravité qui peine à toucher. La Femme la plus assassinée du monde (Franck Ribière, 2018, 1h45). Même la performance toute en sobriété de Jared Leto, impassible façon Kitano ou avant lui Alain Delon, est estimable au milieu de jolies performances du cast japonais.